Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven
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Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven

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Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Lun 25 Fév - 21:16


L’adresse, à la vue des passants plus ou moins sympathiques qui t’ont aiguillé au fil des rues, semblait naturelle, habituelle pour quelqu’un qui n’était pas là depuis longtemps. Pour toi elle a semblé le bout du monde, alors même que tu passes ton temps à courir sur les berges depuis ton arrivé il y a quelques jours. Sarajevo semble immense, malgré le fait qu’elle ait été ravagé un siège et qu’une guerre civile arrache le vernis et le pavé de ses rues un peu plus chaque jour – de ce qu’on t’a dit ; tu ne serais pas là avec ta division si tout allait bien.

Fort heureusement, tes quatre chiens habituellement avec toi n’ont pas entravé ta recherche ce soir puisque tu les as laissés à l’appartement, et c’est donc tout naturellement que tu as pu pénétrer dans l’hôtel indiqué – après forces négociations parce que mademoiselle Moltzer n’est pas une fille facile, gnagnagna. Pas de roses, pas de cochonneries du genre, tu sais très bien pourquoi t’es là et t’as pas l’intention de lui demander des comptes sur son absence, sur sa disparition, sur le môme qu’elle avait dans le bide et sur lequel elle n’a rien soufflé au moment de foutre le camp puisque...ben t’avais déjà foutu le camp de NYC à ce moment là.

« Salut. »

La porte s’ouvre et elle est là, belle comme le jour, farouche du regard et des courbes alors qu’elle ne fait rien. Un mouvement sur sa poitrine pour la repousser dans la chambre et tu lui attrapes les lèvres, sans perdre de temps.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Mar 26 Fév - 8:50


​Il a fallu que je joue à me faire désirer, stratagème ridicule quand ni lui ni moi ne sommes dupes du fait qu'il est la principale raison de ma présence à Sarajevo. Je voulais quitter les USA quoiqu'il arrive, je cherchais une mission humanitaire dans laquelle m'engager, mais la Bosnie n'était pas exactement mon premier choix jusqu'à ce que j'apprenne qu'on l'y envoyait aussi. ​J'ai signé pour la mission dans la foulée, foulant le sol de Sarajevo à peu près en même temps que lui... Et j'ai pourtant rechigné à le voir jusqu'à présent. Sans doute une partie de moi lui en veut-elle encore d'avoir quitté New-York avant moi, sans moi, une fois de plus. J'ai gardé en travers de la gorge le sale écho que ça a suscité dans mon esprit les deux fois où il est retourné en Norvège. On ne s'est pourtant rien promis, ma vie est seulement plus supportable lorsqu'il en fait partie, et il a tendance à la quitter trop souvent.

Il y a cette impatience mêlée d'appréhension qui me réchauffe le bide, étire les minutes à l'infini tandis que je guette les bruits dans le couloir. Nul besoin de feindre l'indifférence tant que personne ne peut me voir. Et lorsqu'il apparaît dans l'encadrement de sa porte, mon regard s'éclaire bien malgré moi.

​Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche autrement que pour accueillir sa langue autour de la mienne, et mes doigts se referment sur les pans de sa veste. Je dois me hisser sur la pointe des pieds pour atteindre ses lèvres, ma robe remontant haut sur mes cuisses dans le mouvement. La porte claque, nous isolant, et je soupire en glissant mes mains le long de ses bras, poussant sa veste dans le même mouvement.

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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Mar 26 Fév - 14:49


Tu entends le frottement de sa jupe sur ses cuisses derrière le claquement de la porte désormais accessoire et après que ses mains aient glissé sur tes bras pour virer ta veste au passage, tu prends à peine le temps de relever le tissu sur ses hanches pour le déposer dans la chute de ses reins afin de pouvoir la soulever correctement. Avant cela toutefois, tu prends plaisir à retracer le fuselage de ses cuisses musclées par ses activités, et la rondeur parfaite de ses fesses que tu presses entre tes phalanges. Le contact avive une chaleur irréfutable dans le bas de ton ventre que tu presses contre elle, contre sa chaleur féminine.

« Tu m’as manqué, toi. » souffles-tu après avoir recraché sa langue une demie-seconde.

Lui laissant à peine le temps de souffler tu lestes tes épaules pour la prendre sous les cuisses et la soulever dans tes bras. Avançant dans la pièce, tu touches des genoux ce qui semble être le lit où tu la laisses tomber en suivant sa chute. Prenant à peine le temps de regarder son corps rebondir sur les tissus, tu la surplombes, les cheveux déjà en bataille et le sang affluant déjà entre ses cuisses.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Mar 26 Fév - 20:12

​​

Je connais par cœur la peau de Niilo, et je ne crois pas que ce soit uniquement dû au fait que je fréquente bien plus de femmes que d'hommes, de façon à ce que ceux-ci restent gravés dans ma mémoire. Au contraire, je les oublie en général facilement, préférant laisser les courbes féminines envahir mon esprit lorsque je m'endors en solitaire. Mais je ne crois pas que quiconque soit capable d'oublier le Norvégien, moi je n'ai jamais pu. Je sais que Nell non plus. Il ne hante pourtant pas mes nuits, je ne passe pas mes journées à imaginer ce qu'aurait été ma vie s'il n'était pas parti. Mais il suffit qu'il entre de nouveau dans mon quotidien pour que tout implose.

Je sais. Je réponds pourtant, feignant l'arrogance à l'image de mon corps qui se tend, exigeant, vers le sien. J'enroule mes jambes nues autour de ses cuisses, me laissant seulement l'accès à sa taille pour pouvoir défaire sa ceinture. D'un geste habitué, je baisse la fermeture éclair, passe mes doigts entre les pans du vêtement pour jauger de ma paume l'effet que je lui fais encore.

Dans un soupir brûlant je relâche ses lèvres, les abandonne au profit de sa gorge que je grignote, cherchant de ma bouche la peau chaude et palpitante. Son odeur me heurte, m'enveloppe, je m'en enivre en fermant les yeux, mes mains remontant dans son dos, parce que je ne suis finalement pas pressée.

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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Lun 11 Mar - 13:02

Tu la traites probablement de pétasse prétentieuse, dans une langue qu’elle ne comprend probablement pas, tu ne sais plus. Son énergie flamboyante et carnassière s’entrechoque durement avec le froid dont tu viens – celui de l’extérieur, et celui de ce pays qui d’ici semble terriblement lointain. Sa main parfaite a l’occasion de tâter la grandeur qui se développe entre tes cuisses et tu pourrais presque déjà réclamer la peau de ses doigts à l’habileté d’une ancienne pute si tu n’avais pas l’ego traditionnel des mâles envers les femelles. Lieven imprime un rythme avec les mouvements de son corps, échauffant ta peau et ta respiration, aussi rapidement qu’elle le brise.
C’est elle qui contrôle. C’est toujours elle, à chaque fois, même des mois après ; à coup de mots, à coup de doigts, à coup de dents.

Quelle emmerdeuse.

Prolongeant le mouvement de ses doigts tu te redresses au dessus d’elle pour retirer ton tee-shirt. L’élastique qui reliait tes cheveux entre eux file dans le mouvement, te permettant de déployer ce fantasme de viking norvégien de la base de tes muscles abdominaux jusqu’à la pointe de tes mèches blondes qui même ébouriffées semblent presque sages.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Jeu 14 Mar - 14:19


C'est ce qu'il y a de bien avec les langues qui nous sont inconnues, dans le feu de l'action je peux m'imaginer que ses mots veulent dire absolument ce que je veux. En l'occurrence qu'importe qu'il m'insulte, déjà je ne suis pas susceptible sur ce genre de conneries, ensuite je peux décider qu'il est en train de déclarer que je suis une véritable déesse si je veux.

Ce que je fais, donc. Même si, dès lors qu'il se déshabille, il semble revêtir le costume d'un Dieu nordique, ce qui lui correspondrait bien parce que ces divinités-là ne sont pas réputées pour leur pureté. Du bout des doigts, je redécouvre avec ce même plaisir, sans cesse renouvelé, les muscles qui se dessinent sous sa peau. J'ai beau le connaître par cœur, l'avoir parcouru cent fois, deviner les heures d'entraînement qui ont permis de façonner ce corps-là, il entre toujours une sorte de fascination émerveillée dans la redécouverte de Niilo.

Mes jambes toujours accrochées à lui, je prends appui sur le matelas pour le faire basculer sur le dos et inverser les rôles, et même s'il n'aide pas vraiment mon mouvement, je sais qu'il n'est possible que parce qu'il n'oppose pas de réelle résistance. Ma bouche fond sur sa peau, mes lèvres entrouvertes cédant le passage à ma langue, à mes dents qui parcourent sans douleur la chair dévoilée.

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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Jeu 14 Mar - 14:48

Lieven fait une nouvelle fois preuve de ce caractère qui te rend fou : elle réagit soudainement, avec une volonté primitive de domination qui indique qu’elle ne se laissera jamais faire et que tu ne lui feras jamais peur. Ton corps massif s’écroule bientôt sur le matelas et tandis qu’elle descend sur ton corps tu as le temps d’attraper un morceau de sa robe qui avait commencé à se relever pour la tirer le long de son dos et la faire progressivement remonter vers toi pour la lui retirer. Ton geste pourtant décidé est toutefois interrompu à chaque seconde par les mouvements d’une langue qui te connaît par cœur, qui épouse avec fièvre chacun de tes muscles, des plus aguerris aux plus sensibles aux attouchements. Tes cheveux qui s’étalent autour de ta tête s’emmêlent déjà sous vos mouvements dépourvus de douceur et tu écartes un peu les jambes autour de son visage pour lui laisser une marge de manœuvre qu’elle aurait de toute façon saisie seule sans te demander l’autorisation. Appuyant légèrement sur sa tête tu finis par tirer de l’autre main la robe pour terminer de la lui retirer.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Dim 17 Mar - 8:59


Nos gestes se suivent, fluides, dans une mécanique qui semble parfaitement orchestrée alors qu'elle est en réalité déroutante de naturel. La scène s'est déjà jouée trop de fois pour qu'il en soit autrement. Accrochée à sa peau, je lève pourtant une main puis l'autre, au rythme des gestes de Niilo qui cherche à me débarrasser de mes fringues, le tout sans cesser ma progression, c'est tout un art. Je trace un sillon de baisers-suçons le long de son ventre, sans laisser sur sa peau la moindre trace de mon passage, je ne voudrais pas le marquer et faire flamber la jalousie d'autre amant.e.s potentiel.le.s

Lorsque j'arrive enfin au niveau de sa ceinture, je ne porte plus que mes sous-vêtements, d'un vert d'eau qui détonne étrangement avec le reste de ma garde-robe, d'ordinaire toujours noire ou presque. Mes doigts habiles, habitués, défont les entraves qui m'empêchent d'accéder à ce qui m'intéresse, en l'occurrence sa queue, que je libère après quelques instants des carcans de tissu qui l'enserrent.

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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Dim 24 Mar - 8:03


Une fois séparé d’Alyosha tu as compris à quel point les femmes t’avaient manqué par de petits détails oubliés ; la lingerie avec laquelle la plupart d’entre elles se baladent, religieusement planquée sous leurs fringues comme des bijoux indiscrets, a toujours su mettre tes sens à rude épreuve. Sans avoir le côté affriolent d’une Aidan, Lieven avait toujours su se vêtir avec classe jusqu’à la dernière de ses petites culottes. Tes doigts effleurent la dentelle par dessus la peau qui s’échauffe, tes yeux s’abreuvent des sculptures réalisées par les baleines serrées contre son corps superbe. Ton corps se cambre, s’offre au sien tandis qu’elle descend les marches de l’enfer de chaleur qui tient lieu au creux de tes cuisses. Le tintement de la ceinture qui se détache, le cuir glissant contre le métal, fait courir un arc électrique d’excitation le long de ta moelle épinière. Tu écartes lascivement les jambes autour d’elle, dans l’avidité tendue de l’attente ; le courant d’air qui s’enroule autour de ta chair déjà tendue pour elle fait courir une marée de frissons sur ta peau désormais totalement nue.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Dim 24 Mar - 9:07


Il y a quelque chose qui tient de l'animalité, comme une vibration dans mon ventre à retrouver l'accès à sa peau. Est-ce parce que c'est rare que c'est si bon ? Est-ce que je me lasserais, est-ce que ça me hanterait moins si je le voyais tous les jours ? Peut-être, j'en sais rien et en réalité je ne suis pas vraiment en état de faire cette introspection maintenant. Tout ce que je vois, c'est que ça me chamboule complètement, comme à chaque fois, et c'est bien pour ça que je tente de prendre la main sur notre étreinte, pour ne pas laisser cette sensation de perte de contrôle m'envahir toute entière.

Niilo s'offre à moi en écartant les jambes, son bassin tendu vers moi, et je me penche sur lui en songeant que ça fait longtemps que je n'ai pas posé ma bouche sur une queue. Du plat de ma langue je le redessine, le réapprend pour la millième fois, mes mouvements guidés par ses soupirs, par les caresses de ses doigts qui s'égarent sur ma peau, les ondulations légères de son bassin qui accompagne mes lèvres. Mes mains se crochètent à ses cuisses, remontent vers ses hanches auxquelles je m'accroche, comme pour m'assurer qu'il ne s'en va pas déjà.

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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Sam 27 Avr - 17:56


Lorsque la langue de Lieven fleurit au bout de ta queue, c’est comme une évidence, comme si ç’avait toujours été elle, uniquement elle. Sa bouche semble taillée pour ta chair tandis qu’elle épouse chaque millimètre carré de ta peau étirée, gonflée de sang. Chaque mouvement est un arc électrique se répercutant au creux de tes reins, chaque papille provoque une sensation différente, faisant gonfler la moindre veine jusqu’à une intensité proche de la douleur et de l’explosion. Ton souffle se coupe d’abord tandis que ton dos s’arque, que tes épaules et ta nuque s’enfoncent dans le matelas. Puis ton cœur redémarre brutalement, avec une vitesse qui te donne la nausée et fait pétiller des étincelles de couleur sous tes paupières, tandis que tu passes tes doigts dans ses longs cheveux dont tu apprécies la douceur et le soin qu’elle y porte et qui te semblent pourtant prendre feu sous la pulpe de tes doigts. Un soupir quitte bientôt tes lèvres que tu mords, sans douceur, sans tendresse. Dans ton ventre s’étire le soulagement vorace d’avoir retrouvé la seule femme au monde qui a su te baiser correctement.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Sam 4 Mai - 19:10


Je réapprends ce corps pourtant connu par cœur, exploré cent fois, mais que le temps semble rendre plus désirable à chacune de nos retrouvailles. Les yeux clos, je n'ai pas besoin de le regarder pour savoir exactement ce que je dois faire. Si Niilo n'est pas l'homme le plus expressif du monde, sa peau elle ne sait pas mentir et je la sens qui frémit sous mes doigts. Je pourrais poursuivre encore mais je ne l'ai pas vu depuis trop longtemps pour me contenter de ça. La chaleur s'est propagée dans mon ventre, dans mes reins, et le souffle court je le libère de l'emprise de ma bouche, en profitant pour tenter de calmer mon souffle devenu trop court.

Je m'étire, serpente le long de son corps pour remonter vers lui, sa queue raide s'écrasant contre mon ventre. Je glisse mes lèvres contre son épaule, mord doucement sa clavicule, trace un sillon de baisers frémissants le long de sa gorge pour m'échouer sur sa bouche. Comme d'ordinaire je ne baise qu'avec des femmes, je brise ce moment de grâce en ronronnant d'une voix rauque : J'espère que t'as pris des capotes.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Ven 24 Mai - 17:45


Tu te souviens des femmes.
Tu te souviens de leurs lèvres autour de toi, sur ton aine, le long de ton torse, appréciant des muscles qu’elles ne sauraient jamais avoir. Tu te souviens de leurs baisers, des griffures de leurs ongles plantés dans ta chair, de leur douceur aussi, qui tempère toujours un peu leurs accès et leurs pulsions.

Mais surtout tu te souviens de Lieven.
Tu te souviens de Lieven, dont le soleil brûlant, le brasier ardent, éclipse toutes les femmes du monde.

Ta queue palpite quelques longs instants qui s’étirent entre son ventre et le tien, entre vos cicatrices, entre vos souvenirs, vos odeurs, vos ardeurs contenues.

« Pour qui tu me prends ? »

Tu déposes un baiser brûlant sur ses lèvres, sans grâce, sans tendresse, plutôt avec une forme de fièvre avide. Et pendant que tu replies ses cuisses autour de toi pour écarter naturellement ses lèvres gorgées de sang, tu déchires un carré argenté avec les dents, et lui épargnes ce geste intime à la con, claquant sa fesse pour qu’elle se redresse le temps de libérer une queue raide prête à la défoncer.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Dim 9 Juin - 8:51


Je pensais avoir oublié ces gestes instinctifs, ces mouvements presque mécaniques qui coulaient de source il y a plusieurs années de ça. Je pensais mon corps trop façonné par les mains des femmes pour réagir encore sous les doigts masculins, sous ces impulsions plus fortes que les miennes. J'aurais du savoir que Niilo ferait exception à la règle, comme il l'a toujours fait.

On s'accorde avec naturel, rejouant cette chorégraphie anarchique qui a toujours été la nôtre. Je me soulève, le libérant de mon poids le temps qu'il s'habille de latex et se tende vers moi. Je pose une main sur son torse pour m'appuyer à lui, l'autre s'enroulant autour de sa queue pour le guider entre mes cuisses brûlantes et moites. Je m'empale sur lui dans un sifflement de contentement et de soulagement mêlés.

Je dois me mordre l'intérieur de la joue pour ne pas gronder qu'il m'a manqué, mon ego toujours mal placé ne s'étant pas encore fait la malle. A défaut je reviens m'accrocher plus fort à Niilo, entamant des mouvements lents et profonds, dans l'espoir de faire durer ne serait-ce qu'un peu cette étreinte que j'attends depuis trop longtemps.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Dim 16 Juin - 16:39


Habillé de latex tu laisses faire Lieven que tu ne veux pas blesser même si tu ne l’as jamais vraiment ménagé. Le cœur battant et les mains moites, tu fermes les yeux le temps de la laisser s’empaler sur toi avec toute la science du monde, ses chairs s’écartant autour de toi, se moulant parfaitement à ton corps comme si elle avait toujours été faite pour toi, et seulement pour toi. Dans le manque et la constatation de cette perfection tu laisses un gémissement grave t’échapper, le genre intime mais assumé, jamais retenu, réservé à elle dans toute sa subtilité.
Tes doigts se plantent dans ses hanches lorsqu’au bout de quelques mouvements sensibles, son corps s’ouvre enfin entièrement à toi, te laissant disparaître à l’intérieur de ses muscles, fusionner avec ses chairs palpitantes. Ton cœur s’emballe dans l’avidité et le plaisir des retrouvailles et tes talons se plantent dans le matelas déjà moite de vos sueurs mélangées pour pouvoir faire corps avec ses mouvements de bassin. Ces derniers se font longs et lents, comme s’il s’agissait de se délecter avec emphase et précaution. Révulsé dans ton propre corps, dans ton obscurité chaude, tu la laisses faire un instant, la laissant profiter comme seules les femmes savent le faire, alors qu’elle ne mériterait que la prise vorace et sans grâce de son corps fuselé contre le mur de la chambre.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven Dim 16 Juin - 21:15


Il se tend vers moi et je m'étire contre sa chaleur dans un feulement de plaisir brut, de ceux que je ne peux pas retenir sous peine d'imploser aussitôt. L'onde de chaleur qui se déploie entre nous, enflant entre nos corps enlacés, me brûle la peau aussi sûrement que la flamme d'une bougie. J'oscille entre le bonheur indicible que j'éprouve à le retrouver, et la morsure du manque qui s'éveille à son contact, me rappelant qu'on a trop longtemps été séparés, et que je ne sais plus comment je fais, chaque fois, pour rester si loin de lui.

Les yeux mi-clos, les mains posées sur son torse dans lequel se plantent mes ongles, je me redresse pour mieux le guider entre mes cuisses. Je me laisse aller à ce plaisir égoïste, me laissant au départ guider par les réactions de mon propre corps, jusqu'à ce que la tension soit telle qu'il me faille me voûter à nouveau dans un geste qui me semble si vulnérable que j'en tremble un instant. Je m'enfouis dans le creux de son épaule, y étouffe mes halètements contre sa peau à mesure que mon bassin vient chercher le sien plus fort. Mes dents glissent sur sa chair brûlante, s'y plantent finalement pour réprimer la supplique qui me brûle la langue.
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Re: Si je meurs, faites comme pour Lagerfeld ; parlez surtout de ma chatte. || Lieven

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