Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die...

Ljuban Petrovic

Chacun rêve de changer l'humanité, mais personne ne pense à se changer lui-même.

date et lieu de naissance : Ljuban est né dans la banlieue de Sarajevo au soir du 7 août 1997.

âge : 22 ans.

métier : Ljuban était étudiant en Art, ayant repris des cours avant de disparaître soudainement de la circulation, sans laisser de traces, et de devenir esclave au service des Tigrovi.

groupe : Get27

organisation : Fait partie des Tigrovi, contre son gré. Pour son plus grand malheur.

nationalité : Serbe de Bosnie Herzégovine.

statut civil : Célibataire. C'est ce qui convient le mieux à sa nouvelle condition d'esclave.

autres : Intimidé par la gente féminine en raison de sa timidité. Fait des crises d'anxiété régulièrement. Porte quelques cicatrices sur les avants-bras, une dans son dos et une plus petite entaille près de l'aine.

Salut ! Je suis plus connu sous le nom de Deimos, je suis venu ici par envie et j'aimerais ajouter que je joue Francisco Lachowski ; ne me le pique pas !

The world is a vampyre...

C'est dans une chambre d'hôpital à Sarajevo que le petit Ljuban poussa ses premiers cris. Ses parents se souvenaient encore de cette soirée d'été, le ciel constellé de quelques étoiles qui brillaient au sein de la voûte céleste. Une des plus belles journées de la vie de ce couple modeste. Son père travaillait dans une fonderie de la ville. Sa mère cherchait du travail, accumulant plusieurs emplois au fil des années. Tantôt serveuse dans un bar miteux, tantôt femme de ménage. Dans ses souvenirs, son père n'était que peu présent à la maison, travaillant souvent tard pour essayer de subvenir le mieux possible aux besoin de la famille. Ses parents se sacrifiaient pour offrir un peu de confort au jeune enfant. Ljuban était le premier enfin, l'aîné de la fratrie qui se formerait quelques années plus tard, le premier bonheur dans le quotidien des deux parents. Sa mère était une femme bienveillante et douce, très maternelle et surprotectrice. Son père était plus un homme sévère, presque distant, marqué par les guerres fratricides qui ont ravagés Sarajevo, quelques années avant la naissance de Ljuban.

Et puis un beau jour, un petit frère arriva et la famille s'agrandit. Le jeune enfant s'appelait Damian et son frère, Ljuban avait promis de le protéger, de toujours veiller sur lui. Une promesse qui hantait le jeune homme, manifestation de sa culpabilité. Leurs parents faisaient tout pour que les enfants soient heureux, qu'ils grandissent dans de bonnes conditions et en pleine santé. Mais le bonheur frappait aussi vite qu'il se dissipait, laissant place au malheur et aux jours plus sombres...

Ce jour était un jour comme les autres. Une journée qui était devenue la plus sombre de sa vie, continuant de le hanter. Celui où il était tombé dans un gouffre sans fin et avait enclenché un engrenage que rien ne pouvait arrêter, consumant tout sur son passage. Son père était au travail. Sa mère laissait une nouvelle fois les garçons seuls à la maison alors qu'elle se rendait à un énième entretien supposé lui offrir un travail. Les garçons commençaient à être habitués. Ljuban devait surveiller son petit frère. Encore. Tout était de sa faute. S'il était resté, rien ne serait arriver. Il devait sortir avec un petit groupe d'amis, sillonner les rues de Sarajevo en quête d'une activité. Sa mère avait préparée le repas avant de partir, répétant une fois de plus à Ljuban comment éteindre la gazinière, rappelant une fois de plus de faire attention et de ne pas se brûler. Un soupir s'échappa des lèvres du jeune homme qui hochait la tête. Sa mère se répétait si souvent. Il n'était plus un enfant. Il était grand maintenant. Et sa mère à peine partie, fermant la porte derrière elle en laissant ses deux garçons, Ljuban donna des consignes à son frères avant de partir à son tour, laissant son frère tout seul et fermant la porte à clé afin qu'il ne sorte pas et se perde. Le sourire aux lèvres, nul remord, c'est le cœur léger que Ljuban s'éloigna, traversant le quartier à pas pressés. Tout irait bien. Ljuban serait rentré bien avant sa mère ou son son père. Il ferait croire que tout s'était bien passé et qu'il s'était occupé de Damian, comme il l'avait promis. Il pouvait profiter de ses quelques heures de répit. Sauf que Ljuban avait oublié un détail, la soupe bouillante sur la gazinière.

Il s'apprêtait à rentrer chez lui, aussi insouciant qu'il n'était parti quelques heures plus tôt, effectuant le chemin dans le sens inverse. Il pensait encore être de retour avant sa mère et son père. C'est seulement dans le quartier qu'il remarqua la fumée qui s'élevait dans le ciel. Son ventre se serra aussitôt et il se précipita en direction de la maisonnée. Une masse informe bloquait la rue. Pleins de gens rassemblés et beaucoup de véhicules. Tous les regards étaient braqués vers une maison en feu. Sa maison. Leur maison. Ravagée par les flammes. Les pompiers luttaient déjà pour éteindre l'incendie. Et des policiers sécurisaient le périmètre. Et à quelques mètres de lui, ses parents, leurs regards vide fixant ce qui fut leur cocon. Inconscient, il se précipita vers l'entrée, avant qu'un pompier ne l'attrape pour l'éloigner, le tirant malgré la hargne du garçon, emmené vers une ambulance, se retrouvant face à ses parents, sa mère dans les bras de son père. Ljuban la ressentit pour la première fois. Cette contraction dans son estomac. La culpabilité. Elle l'envahissait de toute part, s'insinuait dans ses veines, comprimait sa cage thoracique. Il se sentait impuissant. Le corps tremblant. Une larme coula silencieusement le long de sa joue quand son regard croisa celui de ses parents. Il se blottit dans les bras de sa mère, enfouissant son visage contre l'épaule de sa mère, ravagé. Il avait tout perdu. Ils avaient tout perdus. Ils avaient une maison, des enfants et tout était soudainement parti en fumée. Par sa faute. Lui seul était coupable. L'espoir s'était envolé. Le dernier espoir était parti quand les pompiers maîtrisèrent le feu. Et tout s'était brisé à la vue du brancard, porté par deux hommes. Dessus gisait une forme, recouverte par un drap. Sa mère s'écroula sur le béton. Il n'oublierait pas son cri de désespoir, de déchirement et de tristesse en comprenant le triste augure. Ljuban se sentait effondré, accablé par la tristesse et rattrapé par le fardeau de la culpabilité qui pesait sur ses jeunes épaules. Ljuban se mura dans le silence, se renfermant sur lui-même. Il s'isolait, plus seul que jamais, dans son coin, à l'écart de sa famille, à l'écart du monde et des autres. Il était bien aller voir un psychologue mais aucun son n'avait franchi ses lèvres. Ljuban ne dormait pas beaucoup, faisant beaucoup de cauchemars, chaque nuit où il se réveillait sanglotant et tremblant. Il voyait la scène de l'intérieur, impuissant, alors que son frère brûlait sous ses yeux, criant sous la douleur et l'appelant à l'aide. Son petit corps se tordait avant de tomber, happé par les flammes qui l'encerclait. Il était seul, terriblement seul. Son père avait tourné sa colère contre lui, méprisant cet être qu'il devait supporter chaque fois qu'il posait les yeux sur ce garçon. Il avait raison de le haïr. C'était de sa faute. C'est tout ce qu'il méritait. Ljuban s'est enfoncé dans les ténèbres, envahi de pensées sombres, se renfermant dans sa solitude. Il ne parlait que peu, rongé par la culpabilité qui le suivait à chaque instant. Fardeau qu'il portait seul sans pouvoir s'en soulager. Il se sentait mal quand sa mère le serrait contre elle, caressant ses cheveux, ne méritant pas cette affections, ne méritant pas ce réconfort. Ljuban savait que tout était différent désormais. Son père le détestait, il lisait la haine dans son regard sombre et froid, ne laissant plus aucune trace d'un amour autrefois paternel. Ljuban n'avait plus la force d'affronter leurs regards. Pas plus celui de sa mère, voilé de tristesse et de compassion. Il se voyait comme un paria. C'était le moins qu'il puisse faire après avoir causé tant de malheur et de souffrance. Il avait anéanti la vie et le bonheur de ses parents. Ils ne pouvaient vivre en posant chaque instant leur regard sur Ljuban. Il avait tué son frère. Il l'avait condamné sans aucune chance de s'échapper. Il avait fermé la porte à clé, et les fenêtres étaient trop hautes pour le jeune enfant, inaccessibles, alors...

Leaving like outcast, living in renegade...

Ljuban a erré seul, dans les rues de Sarajevo avant de se tourner vers un refuge qui aidait les jeunes comme lui. Il pensait que ce serait mieux que le froid glacial apporté par l'hiver, recroquevillé sous une pauvre couette pour se protéger du froid. Il y a d'abord trouvé du réconfort, les premiers temps seulement, mais la vie en communauté n'était pas pour lui. Entre les tensions, vivre les uns sur les autres, les querelles de bas-étage. Ljuban restait en retrait, sans trop s'ouvrir. Mais son silence fut pris pour du mépris. Il gênait tout le monde, se réveillant au beau milieu de la nuit à cause de ses cauchemars. Au moins, dans la rue, il ne dérangerait personne. Un jeune homme, plus âgé que lui avait décider de le prendre comme souffre-douleur. S'en était trop pour lui. Ljuban ne se défendait pas, trop faible ou trop lâche pour s'opposer. Il gardait la tête baissée avant de s'enfuir, se retrouvant à nouveau dans la rue, errant comme un paria, les doigts glacés par le froid, sous le regard des passants, qui parfois le regardait avec mépris, et parfois avec pitié.

Une rencontre le marqua. Une rencontre qui changea sa vie. Quelqu'un venait de lui tendre la main. Un couple. Des gens généreux. Ils étaient passer devant lui sans s'arrêter, avant de revenir. L'épouse lui proposa de venir avec eux. Ljuban en était resté bouche ouverte. On lui proposait de quitter la rue, on lui faisait confiance. Ils n'avaient pas peur d’accueillir un garçon des rues dans leur vie. Il y avait une certaine gêne. Ljuban se sentait intimidé, surtout en présence de cette femme. Il se sentait de trop dans cette maison. Mais pour la première fois depuis longtemps, il avait un toit au-dessus de sa tête et il n'avait plus froid. La femme avait toujours un sourire à son égard, un sourire bienveillant et rassurant. Un sourire qui lui rappelait sa mère. L'homme était davantage en retrait, moins proche du jeune homme, plus réservé mais tout autant accueillant. Ce couple l'avait recueillit, sauvé, l'hébergeant sans rien demander en retour de sa part. Le jeune homme se sentait redevable, essayant de se rendre utile, s'occupant du linge, de faire la vaisselle, faisant le ménage et parfois préparant le repas pour que ses hôtes n'aient plus qu'à mettre les pieds sous la table. C'est à ce moment-là qu'il repris des études, recommençant là où il s'en était arrêté. Ce n'était pas si simple après plusieurs années. Il essayait d'obtenir un diplôme, rêvant d'une vie heureuse et d'un avenir meilleur. Grâce au couple, il pu rentrer dans une université de Sarajevo où il étudiait l'Art, passionné de dessin, d'écriture et de littérature. Ljuban faisait de son mieux à la maison du couple, reconnaissant de tout ce qu'ils avaient fait pour lui. Il était maladroit mais il essayait vraiment de bien faire.

C'était en début de soirée, Ljuban faisait la vaisselle. Le mari venait de rentrer à la maison. Ces derniers temps, quelque chose avait changé dans leur relation, une lueur différente qui brillait dans le regard de l'homme quand il posait ses yeux sur Ljuban. L'homme se colla dans son dos, le plaquant contre l'évier de la cuisine alors que Ljuban tenait encore l'éponge mouillée entre ses doigts. Ses doigts se crispèrent sur l'éponge alors que l'homme lui offrait des caresses trop intimes pour être sage, sa main glissant sous son pantalon et l'autre sous son haut. Ljuban n'avait jamais rien ressenti de tel. Le désir et la passion. Et il ne s'était jamais posé la question de ses préférences. Il n'en avait pas, ressentant autant de désir pour une femme que pour un homme. Il n'avait jamais oublié cette première fois, qui fut aussitôt suivie d'une seconde fois, mais dans la chambre du couple, les deux hommes bravant l'interdit. Ljuban se donnait à l'homme, offrait son corps, se sentant redevable. Le jeune homme savourait cette relation. Pour la première fois, il était au centre de l'attention de quelqu'un. Il comptait. Sa vie faisait du sens pour une personne. Ljuban s'attachait à cet homme, devenant sa proie. Il y prenait goût, aimant cette force qui le plaquait contre un mur ou à même la porte de la chambre, la poignée s'enfonçant au creux de son dos.

Ce jeu dura un moment. Jusqu'à ce que l'épouse tombe enceinte. Ljuban en comprenait le sens, se sentant soudain de trop dans cette maison. Il pensait qu'il n'avait plus sa place. Il pensait fuir à nouveau, partir en griffonnant un mot de remerciement et d'adieu et retrouver son existence, voué à l'errance dans les ruelles de Sarajevo.

Un soir après les cours, il n'était pas rentré dans la maison du couple. Ljuban ressentait le besoin de se changer les idées, entrant dans un bar. Une fille s'installa à ses côtés. Elle était belle et Ljuban n'était pas habituée à ce genre de situation. Et cette jeune femme lui proposa d'aller chez elle pour parler en toute intimité, pour qu'il soit moins troublé. Elle l'invitait à terminer la soirée chez elle. Ljuban accepta sans aucune réticence, candide. Mais une fois dehors, le jeune homme commençait à ne pas se sentir très bien, sa tête commençant à tourner. Il vit des hommes cagoulés s'approcher de lui, parler avec la jeune femme avant qu'il ne tombe dans l'inconscient. Ljuban se réveilla dans le coffre d'une voiture, ligoté les mains dans le dos et bâillonné. Il paniqua, tenta de se détacher, de crier mais en vain, aucun son ne s'échappant de sa bouche. Il ignorait où on l'emmenait, où la voiture se dirigeait et ce qu'on comptait faire de lui. La voiture finit par s'arrêter et le coffre s'ouvrit. Un de ses ravisseurs le tira de force pour le faire sortir avant de s'adresser à lui. Il ricanait, disant qu'il avait été acheter par un homme d'affaire à l'autre bout des Emirats, qui profiterait pleinement de son corps et pour accentuer ses propos tapa ses fesses avant de laisser échapper un rire sadique. Ljuban avait froid dans le dos. Aucun de ces hommes ne semblaient plaisanter. Une autre voiture arriva et un homme en descendit, un homme qui ne portait pas de cagoule et au contraire était bien habillé. Il s'adressa aux hommes, annonçant que le plan avait changé. Ljuban devait servir de monnaie d'échange. Mais pour qui ? Contre quoi ? L'homme s'approcha alors de lui, lui faisant comprendre qu'il s'occuperait bien de lui avant de recevoir un coup à la tête. Lorsqu'il se réveilla, il se retrouva entre les mains de cet homme, chez les Tigrovi. Ljuban connaissait la réputation de cette mafia. Il savait qu'il était difficile d'échapper à leur emprise. Il se retrouvait à la merci des Tigrovi, sans savoir à quoi s'attendre, devenu leur esclave...

Ambiguë :

Code:: Le Voleur d'âme / Homme / 35-40 ans / Relation = / Avatar suggéré : Ben Barnes, Boyd Holbrook @"Ljuban Petrovic"

Code:: [size=11][/size]
[size=11]Il est trafiquant d'âme pour les Tigrovi, cachant cette activité derrière son costume tiré à quatre épingles. Il s'intéresse au trafic d'être humain et en a fait une affaire. Son affaire. C'était plus risqué que tout ce qu'il avait fait pour les Tigrovi. Il s'occupe lui-même des transactions et des échanges. Et c'est en cette occasion qu'il a rencontré Ljuban. Le jeune homme était destiné à partir aux Emirats. Mais quelque chose changea ses plans. Il lui faisait penser à un fantôme de son passé. Un homme qu'il avait aimer sans que cela ne soit réciproque. Une chose qu'il cachait. Si les Tigrovi apprenait son goût pour les corps musclés, sa vie s'en serait terminée. Il connaissait beaucoup de choses et savait qu'il pourrait tirer quelque chose du jeune homme. Il fallait simplement creuser un peu dans ce passé. Il avait un pressentiment et il ne se trompait jamais. En attendant, il se porte garant de Ljuban, comblant la solitude et le manque. Au fond de lui, il cherche une rédemption.

CATEGORIE DU LIEN 2 :

Code:: Ancien amant/ M / 35-45 ans / Relation + / Avatar suggéré: David Morrissey, Nikolaj Coster-Waldau @"Ljuban Petrovic"

Code:: [size=11][/size]
[size=11]Il est l'homme qui l'a recueillit avec son épouse. Ljuban était à la rue, recroquevillé sous une couette parsemée de trous. Ljuban lui est grandement redevable. Au début, l'homme était plus distant et réservé en la présence du jeune homme. Jusqu'à ce qu'il ne le surprenne alors que le garçon faisait la vaisselle. Le désir le consumait pour ce corps à apprivoiser et à dompter. Première fois du jeune homme réceptif à ses caresses et à ses attentions. Avant de l'entraîner dans la suite conjugale et de serrer son corps contre le sien. Encore et encore. Sous le nez de son épouse. Cette relation dura jusqu'à ce que son épouse tombe enceinte. Jusqu'à ce que Ljuban disparaisse de la circulation. Cible de chantage. Il devait de l'argent à la mafia et seul le remboursement total de la dette libérerait Ljuban. Sans quoi, serait révélé le secret de l'homme, à sa femme ainsi qu'en public, ce qui pourrait briser sa vie et sa carrière...

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Questionnaire pour le groupe

Awful

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Date de naissance (rp) : 23/08/1981

Rebienvenue parmi nous !

Bonne chance pour la rédaction de ta fiche !

Date de naissance (rp) : 05/08/1992

Re bienvenue dans le coin Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die... 944199643

Date de naissance (rp) : 26/01/1990

Rebienvenue parmi nous, hâte de voir ce que tu nous réserve avec ce personnage ! Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die... 3426480369

Merci à vous Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die... 3621996801

Date de naissance (rp) : 11/09/1990

Quel chouette prénom Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die... 4230361597

rebienvenue, bon courage pour la rédaction de ta fiche !

Date de naissance (rp) : 19/09/1983

re-bienvenue Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die... 2924069569

Date de naissance (rp) : 12/04/1978

Re-Bienvenue
Au niveau du groupe, tu seras Get27 ! ^^

Merci beaucoup Ljuban Petrovic ~ Alone inside I wish that I could die... 3621996801

Date de naissance (rp) : 12/04/1978

Tu es validé !

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Félicitations, tu rejoins officiellement les rangs de TAN, bienvenue parmi nous ! Si ce n'est pas déjà fait, tu peux jeter un oeil à notre guide de nouvel arrivant, qui contient tout ce que tu dois savoir pour comprendre le forum.

Pour te lancer sur le forum, on ne peut que te conseiller de créer ton bullet journal par ici, hybride entre la fiche de liens et la fiche de personnage. N'hésite pas à contacter les membres pour trouver des liens, et n'oublie pas de te rendre sur la banque des liens, où tu trouveras peut-être ton bonheur. Pour les communications avec le reste du monde, c'est ici que ça se passe.

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